Détails sur le La Grâce d'être femme - Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de La Grâce d'être femme pour votre référence : La Grâce d'être femme a été écrit par Georgette Blaquière qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. La Grâce d'être femme a été l'un des livres de populer Cette année. Il contient 206 pages et disponible sur format E-Book, Hardcover. Ce livre a été très surpris en raison de sa note 4.1 et a obtenu environ 233 avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre La Grâce d'être femme que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie. Voici l'identifiant du livre que vous pouvez utiliser pour rechercher ce livre sur le marché ou un autre vendeur de livres, isbn: 2850492167, ean: 9782850492167 ou asin: 2850492167.
La Grâce d'être femme par Georgette Blaquière ont été vendues pour chaque exemplaire. Le livre publié par Saint-Paul Editions Religieuses. Il contient 206 pages et classé dans le genre Thèmes. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 4.1 des lecteurs 233. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
Le Titre Du Livre : La Grâce d'être femme
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Description du livre La Grâce d'être femme : L'imprimatur a encore frappé ! - 7 internautes sur 9 ont trouvé ce commentaire utile.L'imprimatur a encore frappé !
Par Gecko
L'Imprimatur a encore frappé.Le titre de ce commentaire vient du fait que l'Imprimatur a été accordé à ce livre en septembre 1980. Cet ouvrage, dont le sujet traite des relations de Jésus avec les femmes, commence de façon très brillante, avec un avant-propos qui concerne les message de libération qu'adresse le Christ à l'humanité et aux femmes en particulier.L'auteur(e) montre des compétences extraordinaires dans l'exégèse de l'Ancien et du Nouveau Testament ; on dirait que rien ne lui a échappé. Elle aurait donc produit un ouvrage érudit, captivant et profondément original si elle n'avait pas montré un tel attachement à certains dogmes chrétiens (d'oùl'Imprimatur en question).Quels dogmes ?- d'abord, l'épineuse question de la Création ; GB reprend à son compte le second récit, qui place la création de la femme après celle de l'homme (P. 180), Eve ayant été créée à partir d'une cà´te d'Adam, mythe maladroitement inspiré d'une légende sumérienne.Rappelons que ceci est contradictoire avec le premier récit, oùle couple primordial est créé en même temps, à l'image de Dieu et béni par Lui.- De même, elle avalise le mythe du Jardin d'Eden (qu'elle qualifie de Paradis, erreur communément commise), qui s'accompagne du récit aussi saugrenu que peu édifiant du serpent qui tente Eve, puis Adam, et ses conséquences funestes, dont le péché originel.En outre, elle confond l'arbre de la connaissance du bien et du mal avec l'arbre de vie (autre erreur courante).- Ensuite, elle donne à Jésus le rà´le que lui a défini Saint Paul : réconcilier l'Homme avec Dieu en faisant du Christ un personnage dont la fonction est de remettre les péchés du monde et ainsi d'effacer le péché originel. Pour mémoire, l'objectif de Jésus était d'annoncer la Bonne Nouvelle, c'est-à -dire l'avènement du Royaume des Cieux, en se sacrifiant dans ce but (Cf. A. Schweitzer).- Enfin, elle justifie l'exclusion des femmes de la prêtrise : « A cause de la capacité (des femmes) d'éprouver la présence sacrée de Dieu », et de l'absence de femmes chez les apà´tres.Bel exemple de servitude volontaire'Si elle avait lu l'évangile de Pierre (ce qui lui était déconseillé) elle aurait lu cette phrase sacrilège : « 'Marie-Madeleine, disciple du Seigneur » (Pierre 50). Inutile de préciser que cet évangile est apocryphe.En conclusion, un ouvrage indispensable à qui veut approfondir ses connaissances sur Jésus ; un point de vue plus radical, moins teinté d'eau bénite et encore plus original se trouve dans l'ouvrage de Françoise GANGE : « Jésus et les femmes ». Celui-ci risque de froisser les chrétiens fondamentalistes, mais permet d'appréhender l'extrême spiritualité de Jésus, teintée de mysticisme. 207pages. in12. Broché.
Par Gecko
L'Imprimatur a encore frappé.Le titre de ce commentaire vient du fait que l'Imprimatur a été accordé à ce livre en septembre 1980. Cet ouvrage, dont le sujet traite des relations de Jésus avec les femmes, commence de façon très brillante, avec un avant-propos qui concerne les message de libération qu'adresse le Christ à l'humanité et aux femmes en particulier.L'auteur(e) montre des compétences extraordinaires dans l'exégèse de l'Ancien et du Nouveau Testament ; on dirait que rien ne lui a échappé. Elle aurait donc produit un ouvrage érudit, captivant et profondément original si elle n'avait pas montré un tel attachement à certains dogmes chrétiens (d'oùl'Imprimatur en question).Quels dogmes ?- d'abord, l'épineuse question de la Création ; GB reprend à son compte le second récit, qui place la création de la femme après celle de l'homme (P. 180), Eve ayant été créée à partir d'une cà´te d'Adam, mythe maladroitement inspiré d'une légende sumérienne.Rappelons que ceci est contradictoire avec le premier récit, oùle couple primordial est créé en même temps, à l'image de Dieu et béni par Lui.- De même, elle avalise le mythe du Jardin d'Eden (qu'elle qualifie de Paradis, erreur communément commise), qui s'accompagne du récit aussi saugrenu que peu édifiant du serpent qui tente Eve, puis Adam, et ses conséquences funestes, dont le péché originel.En outre, elle confond l'arbre de la connaissance du bien et du mal avec l'arbre de vie (autre erreur courante).- Ensuite, elle donne à Jésus le rà´le que lui a défini Saint Paul : réconcilier l'Homme avec Dieu en faisant du Christ un personnage dont la fonction est de remettre les péchés du monde et ainsi d'effacer le péché originel. Pour mémoire, l'objectif de Jésus était d'annoncer la Bonne Nouvelle, c'est-à -dire l'avènement du Royaume des Cieux, en se sacrifiant dans ce but (Cf. A. Schweitzer).- Enfin, elle justifie l'exclusion des femmes de la prêtrise : « A cause de la capacité (des femmes) d'éprouver la présence sacrée de Dieu », et de l'absence de femmes chez les apà´tres.Bel exemple de servitude volontaire'Si elle avait lu l'évangile de Pierre (ce qui lui était déconseillé) elle aurait lu cette phrase sacrilège : « 'Marie-Madeleine, disciple du Seigneur » (Pierre 50). Inutile de préciser que cet évangile est apocryphe.En conclusion, un ouvrage indispensable à qui veut approfondir ses connaissances sur Jésus ; un point de vue plus radical, moins teinté d'eau bénite et encore plus original se trouve dans l'ouvrage de Françoise GANGE : « Jésus et les femmes ». Celui-ci risque de froisser les chrétiens fondamentalistes, mais permet d'appréhender l'extrême spiritualité de Jésus, teintée de mysticisme. 207pages. in12. Broché.
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